Description de l'œuvre
Le bleu domine la toile comme un espace ouvert, presque aérien, sur lequel tout vient s’écraser. Profond et lumineux à la fois, il agit comme un fond de respiration, un contrepoint calme à la violence du geste. Sur cette surface bleue, la peinture dégouline sans retenue : oranges, roses et rouges chutent verticalement, laissant des traces épaisses, vivantes, presque liquides.
Le bleu ne subit pas la matière, il la contient. Il donne de la profondeur, accentue les contrastes et fait ressortir chaque coulure, chaque éclaboussure blanche. Les lettres en arrière-plan, partiellement visibles, semblent flotter dans cet espace, comme dissoutes dans la couleur.
Cette œuvre joue sur la tension entre le bleu, stable et enveloppant, et l’explosion chromatique qui le traverse. Un équilibre fragile entre apaisement et énergie brute, où la couleur devient langage.
Plus de détails sur l'œuvre
Description de l'œuvre
Le bleu domine la toile comme un espace ouvert, presque aérien, sur lequel tout vient s’écraser. Profond et lumineux à la fois, il agit comme un fond de respiration, un contrepoint calme à la violence du geste. Sur cette surface bleue, la peinture dégouline sans retenue : oranges, roses et rouges chutent verticalement, laissant des traces épaisses, vivantes, presque liquides.
Le bleu ne subit pas la matière, il la contient. Il donne de la profondeur, accentue les contrastes et fait ressortir chaque coulure, chaque éclaboussure blanche. Les lettres en arrière-plan, partiellement visibles, semblent flotter dans cet espace, comme dissoutes dans la couleur.
Cette œuvre joue sur la tension entre le bleu, stable et enveloppant, et l’explosion chromatique qui le traverse. Un équilibre fragile entre apaisement et énergie brute, où la couleur devient langage.